•                                           l'un des moment fort a pekin

     

     

    La lutte gréco-romaine est une forme de lutte dans laquelle les lutteurs ne peuvent utiliser que leurs bras et ne peuvent attaquer que le haut du corps de leur adversaires, contrairement à la lutte libre, où ils peuvent aussi utiliser leurs jambes et tenir leur adversaire en dessous de la ceinture.

    Blocage de l'adversaire à la lutte gréco-romaine.

    Les lutteurs commencent leur assaut debout et essaient d'envoyer leur adversaire au tapis. Les combattants doivent porter toutes leurs prises au-dessus de la ceinture et l'usage des jambes, croche-pied et plaquages sont interdits.

    Dans la Grèce antique, les compétitions de lutte, brutales, étaient le point culminant des Jeux olympiques. Les Romains, qui firent de nombreux emprunts à la lutte grecque, éliminèrent son caractère brutal, d'où le nom de lutte gréco-romaine.

    La lutte gréco-romaine est particulièrement populaire en Europe mais est pratiquée dans le monde entier. Elle est une discipline olympique.


    votre commentaire
  • Cet art martial indien, très ancien, est originaire du Kerala. Il comprend des techniques sans armes (swasu) quelques peu semblables à celles du karaté et de l'aïkido, mais aussi des techniques avec armes. Ainsi, il est fait usage de l'otta (sorte de massue pointue en bois dur), du modi (poignard double fait avec des cornes de gazelle), de l'urimi (sabre à la lame flexible à deux tranchants), de lances, bâtons, petits boucliers,... Les mouvements, accompagnés d'exercices de respiration contrôlée, visent à frapper les points faibles (marman), qui seraient au nombre de 108. Le kalaripayat a probablement hérité de certaines techniques du vajramushti.


    votre commentaire
  • Le ju-jitsu, ou jūjutsu ou encore jiu-jitsu, regroupe des techniques de combat qui furent développées durant l'ère féodale du Japon pour se défendre lorsque l'on est désarmé. Ces techniques sont classées en 3 catégories principales : Atemi waza (technique de frappe) ; Nage waza (technique de projection) et Katame waza (technique de contrôle) afin de maîtriser un adversaire.

    En japonais, 柔術 (jūjutsu en transcription selon la méthode Hepburn) signifie littéralement « art doux » ou « technique de souplesse » ou encore « méthode permettant d'utiliser au mieux la souplesse ». Il existe diverses transcriptions phonétiques approximatives ce qui explique les différentes orthographes . L’orthographe ju-jitsu est la plus utilisée dans la littérature francophone.

    Au début du XXe siècle des personnes se sont inquiétées de la disparition de ce savoir, dû à la modernisation de l'armée, et ont collecté les techniques de différentes écoles (ryu) de ju-jitsu pour en faire une pratique moderne, adaptée à la nouvelle société ; ainsi naquirent le judo, l'aïkido ou plus récemment le jiu-jitsu brésilien. De par ce fait, le ju-jitsu est souvent qualifié d'« art-mère ».

    Note : le ju-jitsu n'est pas à l'origine du karaté, qui est une technique okinawaienne et chinoise. Par contre, avant l'avènement du Tode à Okinawa et dans l'archipel des Ryukyu, les insulaires pratiquaient déjà une forme de « Yawara » d'où découlent le ju-jitsu et le taijutsu. Le taijutsu et le ju-jitsu de cette époque étaient indisociables encore de cette forme de « Yawara ». Ce taijutsu était une méthode de combat jalousement gardée secrète par la Famille Royale des Îles Ryukyu, les « Motobu ». C'était une méthode incluse dans un style de Ryukyu Kenpo, connu aujourd'hui sous le nom de Motobu Ryu.

     


    1 commentaire
  • Que signifie Viet Vo Dao ?

     

    VIET = Transcendant Supérieur (et nom du peuple vietnamien)

    VO = Art Martial

    DAO = La Voie Viet Vo Dao, Art Martial Traditionnel Vietnamien

    (TRAH MINH LONG = nom du maître, et donc de l'école)

    Le VIET VO DAO est l‘oeuvre de tout un peuple engagé tout au long de l‘histoire dans une lutte pour la définition et la préservation de son identité. Depuis sa fondation par l’empereur Hung Vuong en 2879 avant JC, des étapes clés ont assuré la lente et souvent douloureuse maturation de ce qui allait devenir un Art Martial conjuguant tradition et modernité.

    Note Importante sur le terme Viet Vo Dao : Lors de la création de la première fédération regroupant les arts martiaux vietnamiens en 1973, le Maître Patriarche Le Sang autorisa les fondateurs à regrouper les différents styles sous le nom générique de Viet Vo Dao. Depuis, ce terme continue à être utilisé en France par tous les styles vietnamiens. Au Vietnam, le terme Viet Vo Dao est exclusivement réservé au Vovinam VVD (précurseur dans cet art).

     

    Principes à savoir

     

    Symbole du VVD. Le Bambou, image de la droiture, de la souplesse, de la constance et du désintéressement.

    Devise du VVD. "Être fort pour être utile" Fort physiquement, moralement et mentalement.

    Principe du VVD. Harmonie entre la Force et la Souplesse.

    But du VVD. Formation de l'Homme Vrai, en dehors de toutes considérations politiques, raciales ou religieuses.

    Salut du VVD. "La main d'acier sur le coeur de bonté" La main d'acier = la force, le positif.Le cœur de bonté = la souplesse, le négatif.

    1) NGHIEM : En garde, poings serrés contre les hanches

    2) NGHIEM LE : Main droite sur le cœur (près de l'écusson), poing gauche serré et bras tendu le long du corps

    3) LE : Se pencher en avant.



    votre commentaire
  • Kendo 

     

    La voix du sabre 

     

    Le Kendo est une forme d'escrime, pratiquée au sabre à deux mains où grâce à l'emploi d'autres matériaux adaptés (arme en bambou ou armure de protection), les assauts sont menés de façon réelle.


    Les pratiquants de cet art sont appelés des Kendoka ou des Kenshi.  

     

     

     

    Le kendo se pratique dans un dojo, c'est à dire une salle avec un plancher ou dans des gymnases (si les planchers ne sont pas disponibles)

    Contrairement à d'autres sports de combat, il n'existe pas de catégorie de poids dans le Kendo. De plus, les pratiquants ne portent aucun signe extérieur de leur grade.

     

    La pratique du Kendo 

     

     

     


     

     

     

    La notion fondamentale du kendo est l'unité entre l'esprit, le sabre et le corps :

    • L'esprit (ki) : la détermination dans l'assaut, caractérisé par le cri poussé par le combattant (kai)
    • Le sabre (ken) : il représente le coup porté, il doit être orienté (shinai) sur une partie valable de l'armure adverse ( le tranchant doit couper la partie touchée).
    • Le corps (tai) : il représente l'engagement du corps par une frappe du pied avant soi exécutée en simultané avec le coup de sabre et le cri (kai).

     

    Points d'attaque

    En kendo, seules certaines parties du corps peuvent être touchées pour que le coup soit considéré comme valable. Les quatre cibles principales sont : la tête (men) , les poignets (kote) , les flancs (dō) et la gorge (tsuki)

     

    Les Gardes

    Les combattants se font face en tenant le shinai à deux mains (la main droite près de la garde et la main gauche à l'extrémité de la poignée) pointe vers la gorge de l'adversaire. Cette garde fondamentale (appelée chudan no kamae ) permet de frapper en avançant d'un seul pas ( issoku itto )

     

     

     

     

     

     

    L'équipement 


    Les armes 

    Le katana est le sabre utilisaient par les samouraïs, lors des démonstrations, des sabres équipés des lames factices non tranchantes sont utilisées ( habiki ). 


     

     

     

       

    Le shinai /shinaï est un sabre composé de quatre lattes de bambous attachées entre elles. (photo)

     

     

     

     

    Le bokutō  ou bokken  est une version en bois du katana. Son aspect est proche du shinai. Il était autrefois utilisé pour l'entraînement, mais il a aujourd'hui été remplacé par le shinai. (photo)

     

     

     

    L'armure

     

    Le bogu est l' armure protégeant principalement les parties du corps visées, il est composé :

    • men  : masque pourvu d'une grille métallique couvrant le visage et la tête, les épaules et la gorge.
    • kote  : gants protégeant les poignets et une partie des avant-bras.
    • do  : plastron protégeant le ventre au niveau des côtes et qui remonte jusqu'à la poitrine.
    • tare  : protection couvrant le bas-ventre et le haut des cuisses.

     

     

     

     

    Les vêtements 

    Les vêtements traditionnels sont le hakama (pantalon jupe) et le keiko-gi (veste)

     

     

     

     

     

    UNE DISCIPLINE DE L'ESPRIT

     

    Le kendo n'est pas qu'une discipline physique. Sa pratique requiert la maîtrise de « kata », (combats codifiés), et de l'étiquette s'appliquant au dojo . Le kendo est un art qui exige une discipline de l'esprit.

    Les katas se composent de dix séquences codifiées de combat entre deux partenaires, sept avec le bokken (sabre long) et trois avec un kodachi (sabre court) pour le shidachi .

     

    L'étiquette

    "Le kendo commence et se termine par un salut". Cette règle fondamentale enseignée dans tous les dojo souligne l'importance de l'étiquette qui fait totalement partie de la pratique du kendo. L'étiquette exprime le respect et la gratitude envers les autres pratiquants et les professeurs, mais aussi envers le dojo et le matériel.


    votre commentaire